Derrière les blindages des machines à cône, percussion ou mâchoire, l’électrique remplace progressivement l’hydraulique, une transition motivée par des intérêts économiques et environnementaux.

« Il y a cinq ou six ans, nous n’en vendions pas un seul. Aujourd’hui, de plus en plus entreprises choisissent ce type d’engins. Certaines sont très volontaristes. » Interrogé quant à la place des concasseurs mobile à entraînement électrique, Florent Rey se montre enthousiaste. Le directeur opérationnel de Lheureux, société qui distribue et pro...